Romain Ménard

31 ans, fonctionnaire et vélotafeur inconditionnel !

Je suis originaire d’Angers, et j’habite à Poitiers depuis 2009. Je travaille à l’université de Poitiers en tant que développeur web depuis maintenant neuf ans. Depuis tout petit, j’ai toujours été attiré par le vélo, même si le nombre de chutes que j’ai pu faire à bicyclette aurait pu finir par m’en décourager !

Inconditionnel du Tour de France, j’étais évidemment sur le bord de la route pour encourager les coureurs en septembre dernier lors de leur arrivée dans notre ville.
Le vélo est sûrement mon moyen de transport préféré, pour toutes les raisons que l’on connaît déjà : une certaine liberté de déplacement sur des distances.

Ma pratique du vélo à Poitiers avait plutôt mal commencé, ma monture pourtant fidèle ayant disparu dans les bras d’un inconnu. Privé de mon deux-roues, voilà qu’un ami me proposait de participer, en 2013, à la deuxième édition de l’Anjou Vélo Vintage, une randonnée rétro annuelle sur les routes du Saumurois. Je m’étais alors mis en quête d’un bolide de mon âge, jusqu’à trouver un vieux Motobécane à Emmaüs qui m’a servi de vélotaf pendant deux ans.

Aujourd’hui, je ne m’en sers plus, mais j’ai trois autres vélos : un VTC Gitane que j’avais équipé d’un kit électrique et qui m’a servi de vélotaf pendant plus de quatre ans, un vieux MBK retapé pour une édition de l’Anjou Vélo Vintage lors de laquelle mon pédalier avait lâché au bout de 300m (!), et un Triban RC 500 de chez Décathlon, qui me sert de vélotaf depuis août 2019.

Habituellement, mon trajet vélotaf part d’Actiparc (Vouneuil-sous-Biard Nord) vers la Demi-lune, la passerelle Léon Blum, la pénétrante et Beaulieu pour rejoindre le campus. Et oui, je fais partie des adeptes de cette nouvelle piste sur la pénétrante ! Mais en ce moment, je suis à 100% en télétravail ! Pas de vélotaf donc.

En tant que cycliste et membre de l’association Vélotaf Grand Poitiers, je considère que mon rôle n’est pas d’être moralisateur envers les automobilistes, ni de les diaboliser.

Je souhaite promouvoir le mieux vivre ensemble sur la chaussée, en faisant comprendre à chacun les besoins et contraintes du cycliste, les dangers auxquels il est exposé au quotidien et les moyens d’y remédier.

Je souhaite également encourager toutes celles et tous ceux qui le peuvent à favoriser autant que possible la pratique du vélo. Car c’est peut-être dur de s’y mettre, mais une fois le vélo adopté c’est encore plus dur de s’en passer !

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