Romain Ménard

35 ans, webmaster de l’asso

Je suis originaire d’Angers, et j’habite à Poitiers depuis 2009. Je travaille sur la technopole, à Réseau Canopé en tant que développeur web. Depuis tout petit, j’ai toujours été attiré par le vélo, même si le nombre de chutes que j’ai pu faire à bicyclette aurait pu finir par m’en décourager !

Inconditionnel du Tour de France, j’étais évidemment sur le bord de la route pour encourager les coureurs en septembre 2020 lors de leur arrivée à Poitiers.
Le vélo est sûrement mon moyen de transport préféré, pour toutes les raisons que l’on connaît déjà.

Ma pratique du vélo à Poitiers avait plutôt mal commencé, ma monture pourtant fidèle ayant disparu dans les bras d’un inconnu. Privé de mon deux-roues, voilà qu’un ami me proposait de participer, en 2013, à la deuxième édition de l’Anjou Vélo Vintage, une randonnée rétro annuelle sur les routes du Saumurois. Je m’étais alors mis en quête d’un bolide de mon âge, jusqu’à trouver un vieux Motobécane à Emmaüs qui m’a servi de vélotaf pendant deux ans.

Aujourd’hui, je me sers principalement de deux vélos comme vélotaf : un Triban RC 500 de chez Décathlon, que j’ai depuis 2019 et que j’utilise quand il fait beau et que la chaussée est sèche, et un cube Hyde Pro que j’ai électrifié et équipé de tout le nécessaire pour transporter des courses et rouler même sous la pluie.

Mon trajet vélotaf part d’Actiparc (Vouneuil-sous-Biard Nord), en passant par le bourg de Migné-Auxances que je rejoins, quand il est praticable par le chemin qui longe la déchetterie Saint-Nicolas, puis la récente piste cyclable parallèle à la rue des entreprises, et le chemin des Coudres. Puis depuis le bourg de Migné-Auxances, je prends la rue de Nanteuil puis toujours tout droit jusqu’à Chasseneuil et la zone des Philambins en empruntant la piste toute neuve derrière Leroy Merlin.

En tant que cycliste et membre de l’association Vélotaf Grand Poitiers, je considère que mon rôle n’est pas d’être moralisateur envers les automobilistes, ni de les diaboliser, mais de promouvoir le mieux vivre ensemble sur la chaussée, en faisant comprendre à chacun les besoins et contraintes du cycliste, les dangers auxquels il est exposé au quotidien et les moyens d’y remédier.

Je souhaite également encourager toutes celles et tous ceux qui le peuvent à favoriser autant que possible la pratique du vélo. Car c’est peut-être dur de s’y mettre, mais une fois le vélo adopté c’est encore plus dur de s’en passer !

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