Vélotafeuse globe-trotteuse !
Velotaffeuse depuis plus de 10 ans, et fervente cycliste en ville depuis 20 ans, j’ai commencé à privilégier le vélo à Lille, où je vivais jusqu’à 2018.
Suite à une mutation plus proche de la métropole lilloise, j’ai pu mêler vélo et métro, parfois même avec un pliant pour le dernier km pendant des travaux sur ma ligne de bus. En gros, prendre ma voiture le matin pour aller travailler m’angoisse, et le vélo est ma bulle de liberté.
Poitevine depuis 2 ans (un retour aux sources), je redécouvre Poitiers en vélo électrique. Toute la famille utilise le vélo et la marche. Nous avons un vélo cargo longtail (TernGSD) et un Kalkhoff plus pêchu pour celui/celle qui ne gère pas les enfants.
Je suis professeur d’anglais et je ne peux pas me permettre d’arriver trop en sueur au travail. Par contre, j’apprécie la flexiblité apportée par le vélo, et aussi la sensation de coupure apaisante avant de retrouver la maison.
Pour ne pas me créer trop de stress, je privilégie les détours par les petites rues, qui me permettent parfois de ne pas croiser de voiture le matin ( trajet Dolmen / Buxerolles en passant par Montbernage, puis le chemin des crêtes) J’apprécie, même si c’est plus long, c’est plus court (moins de feux, d’arrêts pour laisser passer les voitures).
Avec les années, je me suis équipée contre le froid et la pluie. C’est parfois un peu lourd de devoir tout retirer en arrivant, mais j’apprécie quand même le rapport aux saisons, et finalement, il ne pleut pas si souvent aux heures d’embauche et de débauche (si, si, parfois il y a même une fenêtre sèche pendant la demi-heure qui va bien!) Je mets mon pantalon avec surchaussure de chez Décathlon, une cape s’il pleut trop, ou simplement un imperméable ou un blouson impérméable de ski.
A bientôt , Mélanie Kays